Les réseaux sociaux: Jamais au grand jamais
Dès que les services d’accès sur internet ont été mis à la disposition des personnes aux quatre coins de la planète, de nombreuses personnes utilisent les réseaux sociaux continuellement. D’ailleurs, on a déjà entendu parler qu’aujourd’hui ce serait vraisemblablement difficile de survivre sans les réseaux sociaux. Donc, j’ai bien décidé de passer un week-end sans consulter l’internet ou les réseaux sociaux. Aurais-je survécu? (Crédit photo: Pixabay)
Qu’est-ce que les réseaux sociaux?
En fait, un réseau social représente un groupement qui a un sens : la famille, les collègues, un groupe d’amis, une communauté, etc. Cependant, lorsque je parle de mes réseaux sociaux, je parle de mes services de messagerie, des applications sur mon téléphone portable, telles que: Facebook, WhatsApp, Service de mail, Linked, etc. J’ai décidé de quitter tout cela pendant le week-end.
Le coup d’envoi, le premier round
Puisqu’il était vendredi, j’étais allé au boulot depuis tôt. Jusqu’au moment, je n’avais pas encore senti aucun effet mauvais en ce qui concerne mon absence sur les réseaux sociaux. J’étais en train d’accomplir mes obligations quotidiennes. Néanmoins, à la fin de la journée, j’ai eu l’envie de mettre à l’écart mon idée initiale. Je voulais jeter un coup d’œil aux applications sur mon téléphone portable. Il faudrait consulter des nouvelles ( la politique au Brésil, la faiblesse de l’économie, la journée de l’équipe laquelle je supporte, etc). Toutefois, il fallait poursuivre ma mission. Je l’ai continuée.
L’abstinence : Je m’arrange tout de même
L’absence de telles ressources m’obligeait à refaire des choses lesquelles avaient été considérées pour moi obsolètes. En ce moment-là, je lisais la version imprimée du journal, je regardais au grand reportage à la télé, et, d’ailleurs, je dînais avec ma famille. Cela m’a fait réfléchir qu’il y aurait beaucoup de choses importantes pour m’occuper. Donc, j’ai vaincu le premier round. Bravo! (Crédit photo: Flickr)
L’appareil de radiodiffusion : Ça marche encore
Hélas, la majorité des personnes ont écarté leurs appareils de radiodiffusion. J’ai heureusement pu accompagner des nouvelles grâce aux diffusions des radios locales. J’ai encore saisi des diffusions des radios étrangères (la BBC Afrique, la Radio France Internationale et la Radio Chine Internationale) qui émettaient leurs bulletins en langue française pour l’Afrique de l’ouest, sur les ondes courtes. Cela m’a beaucoup plaît car je suis étudiant en langue française. (Crédit photo: Fabio Santana)
La remise en forme : On y va
À cause des réseaux sociaux, j’ai déjà abandonné par plusieurs fois mes activités physiques, parce qu’on s’occupe longtemps en ligne sur telles applications. Mon absence des réseaux sociaux m’a permis de faire de la course à pied. À la fin de cette activité, j’ai pu faire de la natation à la mer. Ensuite, je me suis détendu à la piscine. C’était époustouflant!
Les accros : Qu’est-ce que s’est passé?
Au moment où je prenais mon déjeuner avec ma famille dans un petit restaurant, je voyais une famille entière assise qui occupait une table à côté de la nôtre.
C’était épouvantable. Ils ne se regardaient pas les yeux dans les yeux. Ils n’utilisaient que leurs téléphones portables sans se rendre compte d’autrui. J’ai pu vérifier comme nous sommes si méprisants lorsqu’on porte tels équipements. (Crédit photo: Pixabay)
J’ai survécu, Il est déjà la fin du week-end
C’était déjà la soirée du dimanche. Le week-end s’achevait. Je ne pouvais pas croire que j’avais passé tout un week-end sans la présence des réseaux sociaux. J’ai heureusement su m’occuper. J’ai mis à l’éprouve qu’il y a de choses si intéressantes dont nous pouvons en profiter et s’amuser au jour le jour. Pourtant, je sais qu’actuellement, on doit utiliser telles ressources, parce qu’elles facilitent nos obligations et affaires, au-delà des renseignements professionnels et personnels.
Finalement, au fil du temps, la modernité nous apporte des nouvelles ressources importantes. Alors, il faut qu’on sache les utiliser pour qu’elles ne viennent pas à déranger notre vie. Enfin, ç’a été. J’ai vraiment aimé cette expérience.
Fabio Santana, Mondobloguer RFI à Natal, Nord-est du Brésil
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